ACCUEIL
DU CNR
- Dans
ce conflit, le rôle des forces de l'ordure a été déterminant...
- C'est
alors que le suspect a eu l'audace de s'endormir pendant que nous l'interrogions.
- Interrogé
par nos soins, l'homme a alors menacé de nous répondre si on continuait
à l'interroger...
- Le
garçon de café était une femme...
- L'homme
nous raconta toute la vérité qui n'était qu'un tissu de mensonges.
- L'homme
a refusé de reconnaître qu'il nous avait menti en affirmant qu'il était
mort.
- Le
prévenu a attendu d'avoir fini son repas pour commencer une grève de la
faim.
- L'homme
attendait l'autobus d'un oeil suspect...
- Le
suspect nous a alors menacé en fronçant les sourcils...
- Le
cadavre de l'homme qui nous a été présenté correspondait bien à la description
de la femme qui avait été vue par les différents témoins.
- Seule
l'autopsie pourra dire si l'homme est encore vivant...
- Non
seulement la mère n'est pas morte comme le prétendent ses enfants, mais
il a même été prouvé qu'elle est en vie.
- Son
alibi ayant pu être vérifié, nous avons été obligé de constater que le suspect
ne pouvait être présent à l'heure dite sur les lieux du vol qu'il avait
commis.
- L'homme
s'est pendu après s'être tranché la gorge.
- Dès
que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.
- Il
est probable que la suicidée a été lâchement assassinée.
- Le
défunt confirma que son meurtrier avait bien agi seul.
- Malgré
son mariage et ses quatre enfants, l'homme vivait comme un veuf éploré...
- Grièvement
blessé, la vitrine s'effondra en morceaux...
- La
mer était sa terre natale...
- Le
suspect étant sans domicile fixe, les policiers purent le cueillir quand
il sortit enfin de chez lui.
- La
femme a vraisemblablement été étranglée par son assassin...
- L'assassinat
avait donc bien le crime pour seule et unique raison.
- On
ignore les raisons qui ont poussé le désespéré à se faire assassiner...
- Le
défunt a formellement reconnu son agresseur.
- Cinq
des trois suspects ont été relâchés...
- La
femme ayant été décapitée, il nous a été impossible jusqu'à présent de mettre
un nom sur son visage.
- Aucun
dégât n'est à déplorer à l'exception de la seule et unique victime.
- Selon
ses dires, l'homme est mort vers 16h30.
- L'homme
a déposé sa plainte sur le bureau avant de s'envoler devant nos yeux qui
n'ont rien compris.
- Le
choc fut sans gravité même s'il fallut déplorer deux morts...
- Seuls
quelques dégâts matériels furent notés sur le cadavre...
- Le
policier put frapper son agresseur à la tête sans difficulté, son arme étant
parfaitement réglementaire.
- L'homme
ne semblait pas avoir prévu son meurtre avec préméditation...
- Un
violent coup sur la tête semblait indiquer une mort naturelle...
- Après
identification, le corps fut rendu à sa famille dont personne n'a pu retrouver
la trace.
- J'ai
entendu un coup de feu et j'ai vu un type qui sortait comme une balle...
